Un monologue, d’après La Perle (The Pearl) de John Steinbeck, et « Le Chat qui s’en Va Tout Seul » (« The Cat Who Walked by Himself ») de Rudyard Kipling, in Histoires comme ça (Just so stories).
Un conte, tiré d’une fable traditionnelle mexicaine : Kino, pêcheur de perles amérindien en Basse-Californie du Sud, vit simplement avec sa femme Juana, et leur bébé Coyotito.
Quand il trouve un jour une immense perle, « La Perle du Monde », c’est la promesse d’une vie meilleure : promesse qui se trouve confrontée au pouvoir maléfique de la perle, qui détruit les choses et corrompt les êtres…
Une fable d’une simplicité déconcertante, qui sonde les plus profondes ténèbres de la nature humaine, mais dit aussi les possibilités lumineuses de l’amour.
Un poème dramatique d’une intensité aiguë, tour à tour méditation sur la mer et le rivage ; questionnement sur l’éternité, la verticalité des êtres ; et chaude évocation d’une nature sauvage – accompagné d’une basse qui se fait contrepoint à la musicalité de la langue.
Et je vis le regard des chats sauvages
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