Du 9 au 30 novembre, le samedi à 17h
Le Transsibérien parle de la beauté du monde ; de l’amour pour une petite prostituée ; de la peinture. C’est une prose rugueuse, éclatée, dynamique ; une traversée qui regarde du côté de Rimbaud.
Avant toute chose, qui est l’homme âgé qui revient sur son passé ? Pourquoi le piano accompagne-t-il la recherche de son passé ? Il intègre les rythmes de la modernité pour dire la violence de son adolescence et de son amour.
La presse en parle :
« […] on renoue avec la dimension sacrée à l’origine de l’art dramatique. »
newsreelinthereal (Bernadette Plagemime) – Paru le 27 septembre 2019