L’incarnation d’une Pythie des temps modernes qui se fait le relais des vérités imprononçables.
4.48 Psychose est un cri d’agonie. Lorsque tout se confond, vie éveillée et vie rêvée, lorsque les frontières s’effondrent et que la psychose est totale, il est incandescent d’être au monde et cette incandescence est la lucidité à l’état brut.
La mise en scène est allée chercher au cœur du mouvement les signes de cette folie. Une table, deux chaises, une grille, un rideau : ces objets prennent vie, se transforment au gré de l’utilisation qu’en fait la comédienne. Tout ce qu’elle touche, voit, sent, pense, devient monde. L’amour devient son amour. La souffrance devient sa souffrance. Jusqu’à l’insupportable. Jusqu’à l’apaisement…
4.48 Psychose
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